Concernant l'article «Les non-dits de la crise apicole de 2024», j'ai noté une remarque qui m'a été faite concernant une contradiction supposée entre « surproduction » et « importation à bas prix » dans le résumé proposé sur les notes du 5 janvier 2025.
Précisions : l'auteur de l'article indique que la production de miel en France a augmenté en 2022 et 2023, avoisinant environ 35 000 tonnes (NDLR : ces chiffres sont variables selon les sources, 29 857 en 2023 et 31 390 en 2022 selon l'ITSAP par exemple). Les industriels importent de l'étranger environ 35 000 tonnes supplémentaires en raison des prix avantageux (NDLR : au-dessus de 30 000 tonnes depuis 2014). Au total, selon l'article, cela représente environ 70 000 tonnes, alors que le marché français n'en absorberait que 50 000. Par conséquent, il y a eu un surplus de 20 000 tonnes de miel français en 2023 (en particulier) difficile à commercialiser du fait de la concurrence des miels importés moins chers, malgré la sous-production 2024, mettant ainsi en danger l'équilibre économique de certaines exploitations apicoles.
Pour rappel, il s'agit ici d'une synthèse de l'article en lien pour vous donner envie de le lire — une revue de presse, en somme.
Concernant l'article «Les non-dits de la crise apicole de 2024», j'ai noté une remarque qui m'a été faite concernant une contradiction supposée entre « surproduction » et « importation à bas prix » dans le résumé proposé sur les notes du 5 janvier 2025.
Précisions : l'auteur de l'article indique que la production de miel en France a augmenté en 2022 et 2023, avoisinant environ 35 000 tonnes (NDLR : ces chiffres sont variables selon les sources, 29 857 en 2023 et 31 390 en 2022 selon l'ITSAP par exemple). Les industriels importent de l'étranger environ 35 000 tonnes supplémentaires en raison des prix avantageux (NDLR : au-dessus de 30 000 tonnes depuis 2014). Au total, selon l'article, cela représente environ 70 000 tonnes, alors que le marché français n'en absorberait que 50 000. Par conséquent, il y a eu un surplus de 20 000 tonnes de miel français en 2023 (en particulier) difficile à commercialiser du fait de la concurrence des miels importés moins chers, malgré la sous-production 2024, mettant ainsi en danger l'équilibre économique de certaines exploitations apicoles.
Pour rappel, il s'agit ici d'une synthèse de l'article en lien pour vous donner envie de le lire — une revue de presse, en somme.